Cette semaine, avec Le Festival de l'intimité cachée, on sort un peu des films de karaté. J'vous passe chaque jour un nouveau joyau de la sélection.

     Vous pourrez voter en fin de semaine et bien sûr donner votre avis d'intello ou de nase, et toutes les élucubrations sociologiques ke vous allez vouloir trouver dans chacun des courts métrages qui vous sont présentés.

     Les prix ? A la fin du mois. Mais la sélection est déjà un palmarès.

     Aujourd'hui, un film qui tue sa mère.
 
     Bon festival !



Catégorie : Comédie à la Desperated Housewives.


Le garçon à sa maman
de
Katarina LAUNING






 
 
 
 
 
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       Grace à ce petit boitié (900 €) tu peux virer les "batards de la cité d'à coté" ki tiennent les murs de ton pavillon, sans descendre les voir pour leur parler.
 
        T'inkiet pas pour tes oreilles, les ultrasons k'il émet ne sont audibles ke par les cons jeunes.
 
        Malheureusement, la justice n'autorise pas son utilisation en France. Mais le Ministère de l'Identité Nazionale, des Murs Propres et des Trouillards va peut-être nous chier une nouvelle loi ki te permettra de l'installer.
 
      Faudra kan même faire gaffe à pas t'électrocuter en le posant.
       
 
 
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Jean :  Tu avais fait quelque chose qui te pesait encore aujourd'hui. Quelque chose dont tu n'étais pas fier.
Tu fais maintenant quelque chose dont tu es fier : tu dis qui tu es vraiment.
C'est peut-être difficile, c'est peut-être risqué, mais je ne connais pas d'autres chemins.
Moi, je serai fier d'avoir un ami pour qui je suis si important qu'il vienne me dire en toute transparence, en grande sincérité : "Tu as pensé que j'étais un héros et j'en suis pas un. Je t'ai fait un truc moche, je le regrette, je ne voudrais pas que ca brise notre amitié parce que tu es si important pour moi."



Fiso : Je crois pas qu'il y aie qui que ce soit sur cette terre pour se poser en juge de l'autre. En tout cas, que tu les garde ou que tu les perdes, tu en sortiras meilleur, et ceux qui resteront aussi. Là, tu te sens fragilisé, mais tu verras, bientôt, tu seras fort comme jamais. Et cette victoire face à toi-même, humble et solitaire, sans public pour l'applaudir, elle vaut bien plus que toutes les autres que t'as gagnées, quand tu cristallisais leurs fantasmes, là-haut, sur ton ring.

 
 
        Tu crois ke les choses se passent toujours d'une façon et un jour, elles se passent autrement. Alors, c'est toute ta vie ke tu comprends différente. Et sans rien faire de particulier, tu changes plus en un mois qu'en 5 ans.
 
        Moi cke je croyais, c'est k'on était loyal ou k'on l'était pas. Ca pouvait pas être les deux.
 
        J'croyais aussi ke kan on avait fait un coup de pute, y'avait pas de rémission. Jamais. J'croyais k'on n'avait pas le droit à l'erreur ; en tout cas, pas moi.
 
        J'croyais ke les lois de mon quartier s'appliquaient à chacun d'entre nous. J'croyais ke mes srabs d'avant me pardonneraient jamais de leur avoir menti (
revoir l'histoire du mensonge). Si j'ai affronté leur jugement en face, c'était dans l'espoir de sauver ma gueule. Pouvoir me dire plus tard : "j'ai pas été si crade ke ça", et donc continuer d'exiger d'être  irréprochable. En fait, j'aurais pas parié un centime sur une suite possible à notre histoire.

         Au lieu du rejet ke je craignais, j'ai trouvé l'acceptation de ma normalité. Un sentiment ke je ne peux pas m'empêcher de voir comme de la fraternité. Lorsque ton frère ou ta soeur, au lieu d'en être encore à te reprocher d'être né, explore tout ce k'il ou elle peut partager avec toi. L'expérimente. S'y brûle un peu. Pour le plaisir de se perdre dans une déraison rassurée par la force du lien.
 
         Il n'y a pas de réelle amitié sans l'engagement de soi. Il peut y avoir l'habitude d'être ensemble, l'histoire k'on a partagée. Mais, sans risquer tout pour mieux, il n'y a pas la force de cette intimité profonde ki nous lie.
 
         Aujourd'hui, peu de gens me pardonne autant d'être moi ke ce groupe de srabs ke j'ai trahis. Ca me donne envie de leur faire profiter de ki je suis, peut-être comme jamais.
 

 
 

 



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       Vous êtes cons, vous me disiez au début ke j'ecrivais comme Jean Genet. (Vous me l'dites plus jamais bande de batards !) Vous m'avez conseillé de lire ses boukins ke j'ai jamais été foutu d'ouvrir. Et vous m'avez jamais dit k'il avait fait un film :


 
 

envoyé par cinefalo






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     "Un peu de douceur dans un monde de brutes" k'elle dit. Et elle y met du sien ossi. Total : j'ai kiffé son texte et sa façon d'aimer son keum :

 
   

        Jalouse moi ?

   J'avoue que mon homme m'inspire, une grande confiance, je ne me pose même pas de question! Et même si une fille venait à être séduite par mon homme, je trouve ça plutôt normal! En effet il est beau, mais sa beauté est avant tout une beauté intérieure. J'éprouve un sentiment de fierté et je me sens belle près de lui. Je lui dit au moins une fois par jour qu'il est "beau", je suis en admiration devant lui! Devant ce qu'il est, ce qu'il dégage.

Et il a ce je ne sais quoi, ce truc qui ne s'explique pas. C'est un être à la fois ouvert d'esprit et mystérieux, qui naturellement inspire la confiance. Il ne cherche pas à séduire, ça ne l'intéresse pas, mais sans s'en rendre compte il charme naturellement!

Alors il est normal que tout le monde l'aime, et même si je serai malheureuse de ne plus être près de lui, je sais qu'il ne m'appartient pas. Il est libre mon homme, libre comme l'air, personne ne peut le contraindre à faire ce qu'il ne souhaite pas, ou l'apprivoiser, et même pas moi, après autant d'années...

Et malgré le temps qui passe, j'ai souvent le sentiment lorsque je le regarde, qu'il est toujours l'inconnu qu'il était au premier jour car je suis incapable de deviner ses pensées, de savoir ce qui le préoccupe, car nous sommes deux êtres totalement différents, avec chacun nos occupations, nos sensibilités et notre indépendance.

Et malgré les quelques soirées avec ses collègues féminines, j'ai toujours eu confiance, car j'ai sans cesse le sentiment que lui laisser la liberté c'est le meilleur moyen de l'aimer!


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La suite des toffs de Benjamin pour illustrer l'
article d'hier.
 

 

 
 
 

     C'est sûr qu'avec une poire, c'est moins facile de se branler. Mais ya moyen. Suffit de la décrocher.
 
     Kan on n'a rien, tout est bon pour faire un polochon...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 
 
 
 J'aime pas les muscles, kan ils servent pas à boxer ou à bouger.
 
 
 

 


  Ni kan ils sont pas souples.
 
 
 
 
 

 


 
 
 
 
 
     Lui j'le kiff pour son impudeur... mais j'ai kan-même réduit la toff (ça devient prude chez Wajdi).
 


 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
    Lui, pour son audace d'oser montrer cki peut s'passer sous un kimono.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
    Et lui paske c'est un chabert. On devrait pas être impudique kan on fait du pieds-poing. Après les gens ils rigolent kan on monte sur un ring. Ca décrédibilise putain.
 
 
 


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         Un p'tit gars style : direct, m'a gentiment envoyé des photos coquines en se disant k'elles me plairont. C'est gentil à lui pask'en ce moment, j'ai pas trop le temps ni l'envie d'en chercher sur le net. Bon, clairement, ça correspond pas à mon kiff, vu ke j'aime pas cki est surfait. Mais l'intention est touchante. Alors merci pour le cadeau, c'est pas si souvent k'on m'en fait. Certaines m'ont rappelé des p'tits kiffs d'avant.

 
 
   J'vous balancerai les autres demain. Pour aujourd'hui, j'ai retenu celle-là, à cause du sac de frappe. C'était fréquent après trois quart d'heure de défonce ke j'm'accroche à lui, épuisé.
 
    Bon j'etais pas dans cette tenue c'est sûr (sauf malheureusement
le jour où ya eu un imprévu), mais sous mon fuseau, mon survet ou mon short, il se passait la même chose...
 
 
   J'aimais bien le contact du cuir contre mon torse et mes avants-bras, kan j'm'agrippais. Ca faisait comme un corps à corps ke je prolongeais. J'serrais fort le sac chaque fois en reprenant mon souffle. Et en refroidissant un peu, j'déserrais légèrement l'étreinte. Comme si j'devenais tendre. Ca me foutait la trique.
 
     A rester collé à lui, à rêvasser, à sentir mon corps, j'avais pas besoin de me frotter longtemps pour éjaculer dans mon boxer. Je finissais souvent mes séries comme ça kan il m'arrivait d'être seul dans la chambre. C'était la plénitude. J'restais debout contre le cuir. J'le marquais avec l'humide qui traversait les deux étoffes, comme j'marquais mon lit et mon oreiller le soir. C'etait vraiment à moi ce sac, au milieu des espaces et des choses k'on partageait. Et je le faisais savoir.
 
 
     Après, j'm'allongeais sur mon lit. J'restais un peu dans ma sueur et ma jouissance. Je prenais le temps de sentir mes muscles récupérer et se libérer des toxines. Je sentais mon corps se construire. J'enchaînais parfois par une seconde branlette, sans enlever mes gants, en me nourissant des éfluves de la première.
 
 
     J'ai beaucoup fait ça à 17 ans. A 20 ans, je le faisais encore souvent. A 23 ans, ça m'arrivait parfois. Pourkoi je ne le fais plus aujourd'hui ?
 
 
 


  
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à Zarxas, et tous les esprits combattants ki passent ici.
 

 
       Putain ke ces moments là sont bons !

       Kan le ventre se serre doucement, faisant mesurer l'importance de l'enjeu. Le souffle est sous contrôle. Trankil mais tremblant. Les muscles, toniques. Le regard fixé dans le vide, vers l'objectif.
 
       Les mouvements doux concentrent et assouplissent, activent le schéma neuro-musculaire. Pour ke le stress ne l'emporte pas sur l'agilité.

       Le temps ne se compte plus en minutes, ni en secondes. L'air est plus épais autour, comme si notre rayonnement le densifiait. Les sons, feutrés ; les hurlements, lointains. L'arbitre est déjà une présence ; les juges encore une ombre ; l'adversaire, une obsession.
 
       Le corps est calme, centré. On en ressent tous les contours, toute la force et la grace. Une sorte d'extase dans laquelle on n'a pas le temps de se couler.

       Seul existe l'instant présent.
 

 
envoyé par philou101


 
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undefined      Hier soir, sur le canapé :

 
Ma meuf : - Ouhla, ça sent la bite...
Moi : - Le sperme plutôt.
 
Ma meuf : - Comment ça s'fait ?
Moi : - J'me suis branlé dans l'train.
 
Ma meuf : - Ah ouais ?
Moi : - J'ai juté dans mon slip, comme kan j'étais ado. Et j'en suis fier en plus !

Ma meuf : - Ca m'étonne pas de toi...

 
       Elle me regarde dans les yeux et dépose des petits bisous autour des boutons de mon jean. Putain, j'la kiff !



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Moi j'kiff le rouge !

   

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       Une seule fois j'ai laissé ma fille à garder à mon père. J'avais pas d'otres solutions. J'étais dans la merde, yavait personne d'otre à la maison, il avait accepté de le faire paske fo reconnaitre ke kan on est dans la merde, mon père est plus là ke ma mère.
 
       J'amène la petite, elle mange, j'la mets à dormir pour sa sieste. J'mange avec lui et j'pars pour mon rendez-vous ; j'en avais pour trois heures au plus.

       Kan j'suis revenu, mon père était parti. Il l'avait oubliée. J'ai retrouvé ma fille ki hurlait depuis surement longtemps accrochée au barreaux du lit. Des larmes ke je lui ai jamais vues, ni avant, ni après. Des larmes ki devaient être les nôtres, celles k'on n'a jamais su extérioriser, pask'on était trop près de lui pour se rendre compte k'il nous voyait pas.
 
       Mon père j'sais la dernière frase k'il prononcera avant de mourrir : "Ahh... com même, j'i eu l'belle vie. Vriment, c'iti bien. Mi com même di fois, j'rigrette de pas avoir eu d'enfants..."
 
       On lui répondra : "Mais on est là, Baba. Regarde ! on est tous là, autour de toi". Mais déjà ses yeux seront repartis dans son monde. Et dans son monde, c'est clair, on n'existe pas.
 
 
 

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       J'en ai déjà bien parlé de ma mère, kan je me préparais à l'éclater. Comme j'pense y voir un peu plus clair, j'rajoute kelkes trucs encore.

       Pour ma mère, c'est simple, je suis un fantasme. Elle s'illusionne sur moi, surement depuis le début. Elle ne m'a jamais vu comme je suis. Kan elle me regarde, elle regarde en fait un écran sur lekel elle projète son rêve. Ke je bouge derrière lui donne l'impression ke son rêve existe. Mais je n'ai jamais eu pour elle de troisième dimension.

       Moi, là dedans, j'ai été complice. J'ai alimenté son illusion. J'avais appris à le faire pour me croire aimé d'elle. Et elle aimait l'image ke je produisais de moi. Elle l'admirait. Mais en dehors de l'image, qu'elle a construit puis ke j'ai relayé, je ne suis pas sûr k'elle m'ait seulement vu naitre.
 


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       Si ya bien un plan où ma meuf ressemble à ma reum, c'est son incapacité à etre tendre avec moi kan je suis fragile. Ya pas si longtemps, j'lui avais déjà dit ke ça me manquait. Cet épisode (la victoire du coeur) m'a transformé. Apparemment, elle non.
 
       Lundi j'ai fait un premier renoncement. J'ai enfin accepté ke ma mère me donnerait jamais la tendresse k'elle m'a pas donné. J'me suis rendu compte ke j'l'espérais toujours kelkepart au fond de moi. Et sûrement ke ça m'empêchait de la chercher ailleurs.

       Mercredi, j'en ai fait un second. Ma meuf n'est pas non plus capable d'être là kan je suis faible. Elle cesse de me voir et attend ke je me relève. Sa façon d'être douce c'est de me demander : "Alors ! Ca va mieux ?" avec un ton qui ajoute "c'est kan ke tu te réoccupes des gosses et du reste ?". Et j'en ai tiré à peu près les mêmes conclusions.
 
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      Si tu demandes pourkoi t'es pas complètement heureux dans ta vie, j'peux te l'expliker.

      La prison, ca devrait etre ke la privation de liberté, pas l'atteinte à la dignité, pas la destruction psychique d'un homme.

      Ou alors c'est k'on utilise la prison comme une vengeance. Et k'on rentre dans la logique k'on prétend combattre.


      T'es pas heureux pask'on t'oblige à être complice de ce meutre là. Ca te taraude sans même ke tu t'en rendes compte : la prison est un long cri k'on ne veut pas entendre.
 

 
 
      En plus, ça le fait aussi au niveau mondial.
 
 




 
Regarde ça ce soir, plutôt ke la nouvelle star :

 
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Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






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