Moi j'aime bien la ramener. Mais j'me suis entrainé pour ça : des heures entières à m'la péter grave.
 
       "Arrête de te prendre pour Baloo" c'est cke j'dis tout le temps à l'entrainement aux frimeurs ki veulent trop vite "faire comme à la télé" :




 


  
 

      Ya pas, faut s'entraîner : 





      






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      Franchement, dans le cadre d'une compète officielle, ça m'est jamais arrivé d'avoir la trique. J'conçois même pas trop comment ça peut se passer vu le stress et la concentration. Après, par contre, c'était fréquent.

      Mais tout le monde n'attend pas d'être trankil au vestiaire :
(Mdr le signe de croix, j'suis pas sûr ke ça va lui faire passer sa gaule)





 
       Dans ce cas, j'conseille de faire semblant de rien. J'ai toujours dit ke ce qui fait des dégats aux yeux des collègues c'est pas de bander, ce de pas l'assumer. Celui là y arrive bien :





   
      Pour les sportifs concernés, j'conseille de lire mon p'tit traité des érections incontrôlées dans les douches
      Ou un vieux post sur l'ambiance des vestiaires


      

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à Fiso et Incompréhensions, les deux chaudasses malines du net.

 
     J'sais pas combien ya de neurones entre la zone cérébrale du combat et celle de la baise mais à mon avis, à notre fabrication, ça s'est joué de peu que ce soit la même.

     Kan les combattants sont des sensitifs : kan on sent l'adversaire plutôt ke le regarder, kan on se colle à lui, k'on le palpe avec tout notre corps pour s'en faire une idée et comprendre ses mouvements. Alors, c'est vraiment comme si on baisait, la trique en moins.

     Ou alors, c'est ke je nike comme je combats, et ke j'me trompe depuis le début de ma sexualité.




GUC 2 - IBRAHIM VS AKAPOVI - DEMI-FINALE -77KG
envoyé par kreem





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(Cliquez sur la toff pour lire sa version à Elle)
 

Ma tête abimée. La lèvre éclatée. Cheveux encore mouillés. Peau dorée par l'été.

Sa façon de se blottir. Cette manière de me couvrir. Ses cils à peine éclairés.

Ma force à réconforter. Une ténacité. De la tendresse cachée. Mon animalité.
    
Un truc compliké : sa façon de m'aimer. Elle m'accepte comme elle est. J'en suis tout troublé.

Ma semence ki s'écoule sans ke je puisse contrôler.

Et son rire d'assoiffée.


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   C'est pas mon genre de faire des excuses mais si ça l'était, j'vous en devrais. Vous laisser tomber pendant si longtemps, ça se fait pas, franchement...

   J'ai concentré ma force sur autre chose ke mon blog, un truc moins introspectif, plus constructif au final. Possible ke c'est la première fois ke j'me défonce pour moi-même. D'habitude c'était pour les autres ; cette fois c'est pour ma gueule. J'sais pas encore kel résultat ça aura : j'suis peut-être pas fait pour ça. Pas fait pour être libre. Ch'allah, on verra ce que septembre apportera.

   Un nouveau srab a fait son entrée dans
mon p'tit groupe de fidèles (ahlan wa sahlan, khoya !). J'suis content qu'il soit là. Si j'compte bien, y'en a plus qu'un à faire passer du coté obscure de la force. Mais ça tarde à s'organiser.

   Autrement, ya Jason
que j'défonce régulier toutes les semaines de juillet. Faut bien passer l'été. Mais j'le porte, au fond de moi, ya kelkechose. J'kiff l'odeur de sa fragilité. Il m'a ensorcelé... Son air de pas se garder lui-même m'a touché par derrière mon blindage.

  

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     J'suis trop puissant comme gars !

     Comme vous avez pu voir, j'suis pas trop là en ce moment et j'ai du retard pour répondre à vos comms. C'est parce qu'il m'est arrivé une couille au taf. J'ai traversé une putain de tempête ke j'ai pas vu venir. Mais là j'en sors propre et calé sur le bon cap. M'a quand même fallu presk'un mois pour comprendre le truc, colmater les fuites et redresser la barre.

     La fille qui m'a mis dans la merde, j'lui en veux pas, mais j'ai quand même mis en place une stratégie ki va la conduire dans les cordes. Inexorablement. Un truc ke j'vais lui donner à faire : si elle le rate, elle perd ; si elle le réussit, elle perd aussi. Elle est K.O. dans moins de trois rounds.

     Putain, j'suis redoutable. Mais j'aime bien gagner, et surtout, j'ai fini de minimiser qui je suis.



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       Je ne sais pas ce ke je dois faire...
 
       L'ombre pour la proie ou la proie pour l'ombre.

       Le courage du combat, le courage de la fuite.

       Conserver ou anéantir.

       Reconstruire ou entretenir.

       Foncer ou réfléchir.



       Je sais ke derrière ce choix, il y a toute ma vie passée ki s'exprime, toute ma vie future se dessine.


 
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Ne laisse jamais les autres décider que tu n'es rien sans réagir.
Tu y perdrais ta dignité.
 
 
 

Destruction par les flammes du plus grand centre de rétention administrative de France (camp de concentration avant la déportation).





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       Salut les branleurs du net !

       Depuis tois semaines, ya plusieurs personnes ki m'ont dit : "ton blog, il est utile" ou "ton blog, il m'a permis de...".

       J'l'ai pas fait pour ça, mais ça m'a intrigué. Et j'me demande bien à koi il peut vous servir.

        Donc, j'vais encore une fois vous mettre à contribution :

        Si vous vous dites qu'un jour ce blog a pu vous servir à kelkechose (si possible à autre chose k'a vous teuber, mais bon, j'prends tout), j'vous demande de me dire en quoi SVP.





            Hey toi là-bas ! Fais pas comme si t'avais pas lu ! Au taf !


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Ya pas, les Japonais, c'est les plus acharnés...



à Seiji, suggestion de pratique pour réparer son dos.





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          Bon, ya du foot à la télé. Donc j'laisse ce film vous raconter l'ambiance de la boxe à ma place. Autour de Jean-Charles Skarbowski. Faut ke tu montes le son, les boxeurs, ça parlent doucement.





à Superebeu, mon p'tit reuf ki a besoin de kelk'un pour nager, pour l'instant.



envoyé par kalgoran




 

      
Peau de boxeur 2/3




 
 
Peau de boxeur 3/3



 
 
 

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      Bon, voilà ! A force de rôder d'un territoire à l'autre, on a fini par se choper, Incompréhensions et moi :




Incompréhensions :  Absorbée dans mes pensées, je ne t'ai pas entendu arriver. Tout à coup, je sens ton corps qui se plaque contre mon dos, tes mains sur mes hanches, et mon ventre s'enflamme lorsque je sens que tu bandes déjà...
 
 Wajdi :  J'étais là. Dans l'ombre. Et je te regardais... J'imaginais, sans être sûr, ce qui faisait battre ce trouble en toi, depuis que tu m'avais frôlé. Il y avait quelque chose, ça je le sentais. D'instinct. Mais de quel ordre ?.. J'étais contre ton dos pour l'explorer. Je te tenais, c'est vrai. Dans peu d'espace, c'est encore vrai. Respirant ta nuque, tes cheveux, je cherchais... pour comprendre. Comment ce ventre était déjà en flamme ? Je m'inscrivais à peine sur toi.

 Incompréhensions :  Je t'avais cherché, je le savais... je rêvais de cet instant et voilà que tu me l'offrais. Je voulais que ce soit toi, et je savais que c'était toi en te sentant t'imprimer contre moi, avant même de me retourner. Mais pas tout de suite, je veux profiter de cet instant, celui où l'on ne doute plus, où l'on sait que la suite va n'être que plaisir... Je passe une main derrière ta nuque pour te caresser, l'autre se fraie un chemin de ton dos à tes fesses... Ma tête trouve sa place au creux de ton cou, ma poitrine t'est offerte, ton souffle cherche déjà mes lèvres... Envie...

 Wajdi :  Je les respire, je les effleure. Je ne cherche que la surface, tu quêtes en profondeurs. Je te sème, tu te serres. L'odeur de ta peau en conversion : elle est plus sexuelle à chaque mouvement de tes cuisses. Elle me transperce, jusqu'au bassin... frotte mes sens. Je te tiens. Mes cheveux combattent déjà tes seins.



Esquive érotique...



Incompréhensions :  J'aime ces jeux, je te désire, tu me fuis, je m'éloigne et tu m'empoignes... Dans notre étreinte je cherche un mur, ou n'importe quoi pour me soutenir, et tu te plaques contre moi. Je suis comme prisonnière entre le mur et toi. Je sens tes lèvres qui échappent à ma bouche s'emparer de mes seins, tes mains chercher la chaleur de mes cuisses, tes dents qui commencent à titiller ma peau, et ton odeur... celle de ton sexe qui monte jusqu'à moi, jusqu'à m'enivrer... mes mains qui le cherchent, qui te cherchent...
 
 Wajdi :  Tu le frôles mais je l'esquive. Je ne te laisse profiter que de l'odeur de mon corps. Presque je t'immobilise, le dos de ta main plaqué contre le mur, au-dessus de ta tête. Je te regarde ; c'est la première fois. La courbe de ton bras, le profil de ton flanc, délicat. Tes hanches... J'inspire avec un soubresaut. Si je me calme, je chavire. Donc je te plaque plus fort pour ne pas succomber. Ma main cherche. Elle déchire. Tu le savais pourtant que j'étais animal... Je ne te l'ai pas caché ! Alors je prends. Avec les doigts. Ce petit nid humide, ses secrets à livrer.

 Incompréhensions :  Et c'est animal que je te veux, que je te souhaitais déjà dans mes rêves. Je me débat presque, presque pas, je ne sais pas, mes jambes sont en coton, tes doigts sont en moi et m'emprisonnent en même temps. Et tes yeux... cette façon que tu as de me dévisager, de prendre cette première fois avec un regard, de me fixer comme pour me posséder... et mes mains qui te cherchent, s'affolent et griffent tes épaules, je glisse un doigt dans ta bouche pour que tu le mordes, je cherche tes doigts et les suce avidement. Et je ne cesse de te fixer dans les yeux, mais je n'y arrive plus lorsque le plaisir de tes doigts puissants en moi m'envahit...
 
 Wajdi :  Je te resserre sur toi-même. J'enlève mes doigts de ta bouche : un gémissement, comme une surprise. Je les remets, plus profond. En bas, leurs frères se sont bien mieux plantés. Ils font le guet. Te tiennent. Tu le sens. Dans tes yeux je lis que tu le sens. Mon front contre le tien. Je t'immobilise. Il n'y a plus que nos regards et mes doigts. Mon regard et mes doigts. Je les sors. Je les lèche, longuement. Mes yeux se ferment. Et c'est ma tempe, plus douce, plus fragile qui se frotte maintenant à toi.



Soif érotique...


 Incompréhensions :  J'ai le sexe ouvert qui halète, vide de toi, je cherche ma respiration, reprends mon souffle. Je te sens contre moi, tu te fais doux pendant un instant, je sais que c'est juste un répit que l'on s'accorde. Je me fais caresse à mon tour, mes mains, mes lèvres, mes seins, ma peau toute entière, toute ma douceur épouse la tienne. Et puis il suffit d'un effleurement, juste un peu plus fort que les autres pour que je devienne à mon tour sauvage... incontrôlée, je m'agenouille devant toi, cette fois je ne veux pas que tu résistes, je veux sentir ton sexe et tes couilles dans mes mains, sur mon visage, dans ma bouche...

 Wajdi :  Un avant-bras contre le mur, les yeux jetés vers ta crinière, je te regarde déguster. L'un des plus beaux présents que je puisse donner : le goût, le sel de mon intimité. Je te domine comme un soleil. Je te caresse, comme une pensée. Mon corps, agressif à souhait, caresse tes orifices. Un genou sur les seins ; contre ton sexe : ma cheville. Dans ta bouche assoiffée, ma trique à exploser. Le mouvement part de mes reins et se propage comme une onde, jusqu'à ma nuque, jusqu'à nos pieds. J'en oublie les secondes, le peu de temps passé. J'inscris contre ta joue une marque de possession : un signe, une odeur que je reconnaîtrai.

 Incompréhensions :  Je suis marquée par toi. Je te sens en moi, contre moi, tu me possède toute entière et j'ai enfin ton gout dans ma bouche, ton odeur sur moi, ta queue profond dans ma bouche et tes mains sur ma tête qui la guide... Tes mains qui l'instant d'avant étaient en moi et portent encore mon odeur mêlée à celle de ta bouche... Je n'ai plus aucune partie de mon corps qui ne t'a pas touché, qui ne profite pas de ta chaleur, je brûle en sentant ton plaisir monter... j'ai une main qui caresse tes couilles - j'entends tes gémissements et les miens s'étouffent contre ta trique - et l'autre qui glisse jusqu'à ton cul qui s'offre à chaque fois que ta queue s'éloigne un peu de ma bouche...
 

 Wajdi :  Je passe un cap. Celui où la sensation prend le dessus sur la raison. Je ne sais plus pourquoi je suis là. Pourquoi sur toi. La teub en feu. Métallique. En fusion. Elle m'échappe, autant qu'à toi, passe de ta bouche à ton visage. Je m'attendris sur ton désir. Ta soif de moi. Ca me touche, au plus profond. Je tremble comme un violon. Un intérieur au bord des larmes, mais dehors je me déchaine. Parfois violent, presque cruel. 





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          Fallait bien ke j'conclue cette histoire de fion avant la fin de l'année. Après une séance d'entrainement assez intense et percutante, j'étais pas rassasié. Comme un feu ki couvait à l'intérieur de moi. Une envie de mordre et d'écarter.
 
          Déjà à l'entrée des douches, j'ai collé
Jason, sans lui parler. Au lieu des p'tites douceurs de d'habitude, des palpations furtives de fion pour vérifier k'il était toujours à moi. J'lui prenais son espace, devant lui. J'le regardais sans causer.

          C'est mes yeux ki parlaient : "Ce soir, t'es ma pute Jason. L'heure a sonné".
 
nu dans les vestiaires
          C'était dur de pas bander. Ca a fini par arriver, à force d'occuper son espace et de le regarder. Y'avait une pression béton. Une tension qui l'a mis mal à l'aise. J'avais pas envie de rigoler, puisque j'venais pour consommer. C'était bon de le sentir trembler.

         Pourkoi là ? A ce moment ? Qu'est-ce qui m'a décidé ? Peut être le petit exercice de la semaine précédente ke j'tâcherai de raconter. En attendant, il allait vers sa douche et devait me contourner. J'm'assurais k'il comprennait cke je voulais.

          Putain ke j'avais faim. J'étais très concentré sur son odeur, comme si j'voulais les discerner : celle de son fion, celle de sa bite, celle de son corps après l'effort, son haleine inkiète, ses mains dégantées, ses pieds.
 
          Il contournait ; je le heurtais. Jusk'à le conduire à sa douche, sans le toucher. Putain ke j'aurais aimé le ken direct, là, contre le mur. La présence des autres l'a sauvé. Un gars est entré, j'ai laissé mon Jason se tourner sous sa douche, cacher sa trique comme il pouvait, et j'suis allé finir de m'habiller.
 

 
          Il est passé devant moi, comme pour venir chercher des instructions. J'l'ai seulement maté. C'est plus tard, à la sortie, ke j'suis allé le talonner.

          J'ai embrayé à ses côtés, légèrement derrière : sentir mon Jason commencer à flipper, ça faisait kiffer. - "T'as des capotes ?". Il me répond : "Ouais".
J'croyais m'engouffrer dans sa caisse de kéké, mais c'est dans le métro qu'on est entré.

          J'lui ai indiqué où s'asseoir. Il rougissait. J'suis resté debout, à le mater. La braguette pas si loin ke ca de son nez, la bite ensorcellée. Dur comme la barre à laquelle je m'accrochais. Et Jason qui soupirait, kan il arrivait à respirer.
 
           Chez lui, j'ai prié pour k'y'ait pas ses parents... Exaucé ! Après une inspection circulaire du salon, j'l'ai poussé vers sa chambre. Les posters y étaient. Juste quelques coins décollés. J'ai reconnu la même odeur de frais. Presque un an s'est passé.
 
doigtage de fion
            J'l'ai plaqué sur son lit. Trop facile à enlever : le survet et le boxer, d'un trait. J'ai passé mon majeur et l'index dans la bouche, bien mouillés, mais j'ai pas tergiversé à l'entrée. Il a crié... s'est agité. Je l'ai serré.
 
             Sympas les allez-retour de sa prostate à son coccys. Je voulais tout sentir. Comment c'est fait, le trou du fion de Jason, depuis le temps que je devais le sonder. La peau épaisse, chaude et mouillée. Le serrage autour de mes doigts : une protection désespérée...

              J'l'ai chevauché. Un genou appuyé contre chacune de ses hanches. Je choppe un bras : une petite clé. J'ai k'à lever le poignet de cinq centimètres et Jason qui se plie au niveau de l'aine. Ca fait comme un levier. Il choisit pas mais son cul se lève, pour se montrer. Mais là, j'ai pas fait le chien. Au lieu de regarder, j'ai blotti mon visage contre son cou, puis son oreille, trankil, relâché contre mon Jason encore tout stressé.
 
               On est resté bien un quart d'heure comme ça. Bandés. C'était trop doux, presque mignon. Mes doigts dans son fion, mais sans bouger. Comme un calin. J'retrouvais les sentiments de l'été dernier. Nos souffles qui se mêlaient. Mes pectoraux contre son dos. Mais, kan même, ma mâchoire près de son gosier. J'avais même pas envie de me faire sucer.



#   #
#



                  - "Allez Jason ! elles sont où tes capotes ?" J'l'ai relâché ; c'est moi ki suis allé les chercher. J'lui ai demandé de se désapper, complet. Putain, ça m'excitait !

                  Assis sur
le lit où il m'avait sucé, j'lui ai ordonné de venir s'asseoir sur moi et de "prendre son pied". Kel requin je fais ! : en deboutonnant mon jean, en sortant ma teub chaude et mouillée, j'lui faisais dire k'il voulait se faire défoncer. Puis j'l'ai gifflé. Au début, avec retenue... mais il en redemandait. Alors, j'me suis lâché.
 
                  J'ai enfilé le préservatif (là j'raconte pas, j'ai merdé) et j'l'ai pris comme un oreiller. En le chopant par derrière à l'épaule, j'pouvais le ramener comme je voulais. J'le bloquais sur moi comme un capuchon. J'm'y mettais en entier, jusqu'au pubis. Il se retenait de gueuler. Ce kiff, wallah ! Qu'est-ce que c'est bon de le limer. Au point que j'ai dû recommencé. La deuxième fois, à quatre pattes. Pour la capote j'étais rodé.
 


                   Sérieux, j'comprends pas pourkoi j'ai attendu si longtemps...




Se taper le mec en entier (un an kan même pour en arriver là)
 
           
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Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






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