Ce gars là (Sharif Hassenzade) k'on voit ici taquiner les pattes d'ours est champion de France espoir de BFS depuis hier.
 
     C'est un sans papiers qui espère en obtenir. Et il est en bonne voie (du coup) parce qu'expulser un champion de France de Boxe française, ça fout mal.

     Ca prouve que si une Fédération sportive ne joue pas trop au flic, on peut avoir de belles histoires et des championnats ki récompensent le plus fort et non pas le plus à jour.
 
 

 
 
     Une petite pensée pour le vice-champion (Medhi Nettour) parce que je sais k'on parle toujours plus du premier que du second.
 

     Félicitation à tous les deux !


   



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Bitume night fever
envoyé par Pass-Pass-la-Cam
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Starko en mode clasheur (épisode 10)
envoyé par ZIMLO
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KARIM RACONTE SA VIE



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Et ce petit document instructif d'échange et de clarification après un combat limite.


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     J'ai été un peu injuste avec le père noël. Tout compte fait, je suis bien servi. Il m'a amené un bon bâtard. Ma lettre ouverte m'a ramené kelkes candidatures à la fonction de bâtard de Wajdi. Ca a dû bon les blogs pour recruter.
 
     Au total, j'ai sélectionné un prétendant, et j'vais le dresser pour k'il soit conforme à cke j'attends de lui. Il en est tellement fier k'il remue déjà la queue. Voila ck'il m'a écrit pour me remercier de l'avoir distingué :

"Il m'a choisi. Je suis son larbin, son batard et fier de l'être.
Je lui appartient désormais mentalement, je lui suis obéissant, fidèle et disponible.
 
Il disposera de mon boule à défoncer n'importe où, n'importe quand.
Jlui lécherais son gros zeub et jrammasserais ses grosses claques si jle fais mal.
Je boirais son yop bien chaud sans en laisser une goutte à terre.
Je le laisserais m'humilier et me frapper comme un bon batard que je sus.
 
Jveux souffrir pour lui".


     Il me reste à lui trouver un surnom de bâtard et commencer à lui faire subir mon existence. Histoire de m'amuser un peu avec mon nouveau jouet.


     Pour papa noël, j'vais kan même lui compter des indemnités de retard.
 
 


     
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     S'installer, toujours et encore, malgré les résolutions de l'O.N.U.

     Ne pas négocier quand les modérés sont au pouvoir. Pour massacrer plus "légitimement" les extrêmistes qui les suivent.

     Faire des Palestiniens ce que les Américains ont fait des Indiens.

     Faire confiance au temps pour que l'irréalisable se réalise.
 
 
 
       Je ne retire rien de la foto ke j'ai mise la semaine dernière. Je suis pour le cote à cote, main dans la main. Mais je constate que la pauvreté de l'uniformité gagne sur la richesse de la diversité. Et que l'homme n'est pas encore assez mûr pour être humain.




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Brian : Dessiner c'est caresser, effleurer la surface ; mais c'est surtout révéler par les frémissements de la peau tous les courants et les tumultes intérieurs qui l'agitent. C'est pour ça que pour moi le dessin a affaire avec l'érotisme qui, comme le sexe, ont toujours été des choses sacrées : se mettre à nu, se découvrir et se construire soi-même au plus profond et à travers le rapport intime à l'autre.

Comme toi, ma bisexualité m'a contraint à aller au-delà des évidences. Je me sens très proche de ton parcours, sur un chemin parallèle, par contre j'ai toujours voulu m'inscrire dans un rapport d'égal à égal. Avec le temps j'ai quand même dû accepter de constater que si un dominant pouvait accepter d'être dominé, l'inverse était impossible : il n'y a des tyrans que parce qu'il y a des esclaves.

Ce que j'aime le plus en toi c'est cet alliage de brutalité et d'infinie tendresse.

 

 


      Esquisse de bondage en six tableaux :


       Bondage

      Torse nu, pieds nus, survet rouge, de profil à toi, je suis menotté dans le dos. Debout. Les bras tendus en arrière, hissés par une corde vers le plafond. Les poignets à hauteur de ma nuque m'obligent à me courber.

 

     Première heure : Tu effleures au crayon mes muscles, ma peau sculptée. Je regarde par terre, à l'opposé de toi, comme vexé. Tu captes ma gêne. Je feints de l'ignorer.

 

     Deuxième heure : Tu changes une première fois ma position, abaisses la ceinture de mon survet de dix centimètres, découvrant le haut de mes fessiers, mes hanches et surtout, mon zeb en érection. Tu dessines mon effroi, ma timidité, ma honte d'être là, exposé.


     Troisième heure : L'inconfort de l'immobilité qui dure se lit sur ton papier. J'ai chaud, ça se sent. Ma teub luit à force de mouiller. Mais cette attente me conduit peu à peu vers un plaisir narcotique. Il te faut reprendre une feuille, me redessiner : mon expression à complètement changée. Tu frolles mes cheveux fusains de tes cils, mon front, mes paupières sont fermées, dans l'obscurité. Mes lèvres avancent, plus éclairées, entr'ouvertes, tellement sensibles... la pomme d'adan, pas simple à croquer. Entre les pectoraux, le sternum disparait, jusqu'aux abdos. Ces poils qui commencent au nombril et descendent vers l'abîme. Ma teub, immonde d'impudeur, impossible à cacher. Les plis désordonnés de l'étoffe rouge érafflée. Enfin, mes chevilles. Mes pieds.

 

     Quatrième heure : Presque endormi mais toujours tenu debout par les poignets, c'est l'intérieur qu'il te faut maintenant explorer. C'est dedans que se passe le combat programmé : la proximité violente de l'orgasme, la douceur de se sentir abandonné. Ma teub n'en peut plus de gonfler. Elle frétille contre l'air, pleure des gouttes salées, pointe en avant, cherche à se masturber, en vain ; elle ne trouve que du vide et de l'ombre. Mais dans le bassin, caché à ton regard, des contractions ont pris le relais. Folles. Rythmées. Endiablées. Mon torax n'en peut plus de vibrer. Mes tetons, électrifiés ! attendent un souffle pour tout déclancher. Si ton dessin pouvait râler...

 

     Cinquième heure : A genoux cette fois, toujours attaché. Les poignets écorchés. Ma nuque prolonge quelques derniers soubresauts. Mon corps a explosé. Le survet est tâché. Ma teub, fière et humiliée : elle goutte de sperme éjaculé. Je respire comme un danseur enivré. Cette détente sur mes joues, c'est sur ta feuille qu'elle apparaît. Ce bonheur assouvi est consigné par tes traits. Je me sens sale, ruiné, mais profondément incendié.


     Dernière heure : Vas-tu enfin me redresser ? Fragile, tu te régales à m'esquisser. J'embrasse ma dépendance, ma vulnérabilité. Des frissons. L'épuisement. Mon envie de pisser, imprimée dans mon corps et sur ton papier. Un besoin d'être rassuré. Une façon artistique d'être dépossédé.


 

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image de paix et de fraternité - israel palestine
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 (Toff tirée du film : "Ali Zaoua, prince de la rue")
amour fraternel

     Pour moi, il n'y a pas de plus bel amour ke celui ki me lie à un frère. Ce toucher à part. Cette odeur ke je connais, ki me parle de sa vie. De ce k'il est devenu à mes cotés. De sa différence énigmatique. De son altérité tellement semblable.

     Le seul être avec ki je peux faire un voyage en train pendant quatre heures sans échanger plus de trois phrases. Ce pantalon que je n'aurais jamais choisi d'acheter ; ce sweat shirt k'il m'a emprunté, parce qu'il l'aimait, ke le porter lui transmet la force et une assurance qui lui manque. Sa joie endormie et lointaine. Sa présence, chaude. Intense et douce. Comme un souvenir de notre enfance. Je regarde ses sourcils qui me ressemblent, le prolongement de ses cheveux en poils ras sur sa joue, qui nous distinguent. Sa proximité, presque dans mes bras et si loin à la fois.

     Nos peaux se frôlent seulement, tandis que nos chaleurs s'enchevêtrent sans loi. Il respire comme moi, mais soupire à contre temps. Je l'observe sans qu'il le voit. Je voudrais plonger de tendresse contre sa nuque, lui mordre le foie. Je me retiens et ce respect ke je lui dois est le plus beau des cadeaux qu'on ne s'offre pas. C'est dans le secret que notre lien est le plus fort.

     Il dort maintenant profondément. Glisse et s'appuie contre mon épaule, puis contre mon bras, bercé par le balancement du train. La brune, en face, comprend ke nous sommes frères. Elle m'esquisse un sourire d'ange. D'abord craintive, ce qu'elle voit maintenant de nous l'apaise. Je suis fier de lui, mais je ne lui dis pas.

     Dans sa chevelure en fourbi, mes yeux se perdent à l'infini. Il pèse lourd, contre moi.

     Je t'aime khoya. 
 
    
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  Voyeuse
 

Ikram : une nana a échoué ici, un matin de noêl, isolée dans le pays de la pluie ( uk ) et envahie par l'ennui. Je deteste les sites perso intimistes façon blog. Mais là, quelque chose m'a poussée à tout lire.

TOUT.

Un petit coté voyeuriste que je n'avais pas encore découvert jusqu'ici s'est dévoilé en moi, en listant tes péripéties...

et...

J ADORE.




 
          Lire ton petit comm. a fait naître en moi ce trouble, agréable et encombrant, ki m'anime kan je suis surpris dans un moment intime. Cet effroi doux et foudroyant, ki fait rougir et se dissimuler les yeux dans une serviette parce qu'il est trop tard pour cacher son corps. Flagrant délit ! Une excitation pas complètement sexuelle, plutôt sensuelle, ki fait exploser mon aura. Comme une caresse avec le regard.
 
         Je sais bien d'où me vient ce délice. De ki. Cette intrusion de ma pudeur, à la fois gênante, excitante et silencieuse. Troublante au point de vouloir la rejeter. Kiffante au point d'un élan vers l'abandon. Demande... et je montrerai. Malgré moi, contre moi, pour ce sentiment de vivre intensément. Mon ombre éclairée de vapeur brûlante.


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      J'avais demandé un bon batard au père noël et voila cke ce débile m'a ramené :

 
 
       Kesk'il veut ke j'fasse de ça ?
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
        La vieillesse n'escuse pas tout !

       J'suis déçu !
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batard       Comme tout le monde, j'ai fait ma lettre à papa noel. J'ai demandé k'il apporte dans mes souliers : un bon p'tit batard !

      Un léger, pour pas faire lourd dans sa hot, et pour pouvoir le tourner facile. D'une main, comme un poulet, d'une bonne claque sur la tête, k'il me donne son boule à défoncer.

       K'il se débatte pour m'exciter. K'il suce comme une tasspé, pour ke j'puisse le frapper, lui apprendre à mieux pomper.


batard soumis       Pas un minet s'teu plait. Plutôt un keum dans mon style :
avant de le soumettre, j'crains pas de m'y confronter.

      En résumé : un beau jouet ! Ke j'puisse me déchaîner.


      Rendez-vous près du sapin !



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     J'crois ke j'viens de comprendre pourkoi j'déprime un peu depuis 6 mois. J'ai plus trop de rêves. Mes rêves de grandeur de kan j'étais gosse.

     J'me rêvais champion et ça m'a mené à le devenir. A kelkes nuances près mais ki dans le fond n'aurait pas changé grand chose. Mais champion on ne le reste jamais. C'est le principe même de la compétition. Il faut le devenir, chaque année, et moi j'avais pas besoin de le rester. J'ai pas besoin de prouver les choses plusieurs fois.

bogoss endormi      Seulement là, je n'ai pas de suite. Je n'imagine pas de nouvelle aventure. Je ne la rêve pas encore. Et mes nuits sont vides de projet.

     Il est l'heure de me dégager du réel. D'être moins terre à terre. De suivre les conseils grave halucinés que mon reuf me donne pour être moins sérieux. Au lieu de les juger. Ce ki m'étouffe aujourd'hui, c'est mon manque de folie.

     Je veux me mettre à rêver, comme kan j'étais minot. 


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Trop fort !



Pateauger dans l'eau kel kiff !






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